Andreas Rüthi was born 1956 in Zürich, Switzerland. After doing a Foundation Course in Watford, he studied from 1987 to 1990 at the Gerrit Rietveld Academie, Amsterdam.
His still life paintings where shown regularly from the mid nineties onwards in Europe, the USA and Australia.
Juxtaposing knick-knacks with art postcards, Rüthi has staged still-life paintings in a way where each carefully chosen item has a meaning and contributes to the overall resonance of the work, acknowledging the past-masters of the still-life painting.
From 2006 until 2018 Rüthi worked in Wales, where he had his first solo exhibitions in the following public spaces: Oriel Davies Gallery, Newtown, Oriel Plas Glyn Y Weddw and Glynn Vivian Art Gallery, Swansea.
Since working in rural Burgundy and Collioure in the south of France, his subjects also include landscape paintings – made en plein air in his gardens.
Painting en plein air has become a performative action. Painting nature as en embodied experience is fundamental. This can be explained as two stages but in reality is more like a continuous cycle. The first is the mapping of the space of the garden through my engagement with planting, collecting, identifying, clearing etc. and the way that this activity becomes an internalised vision. The second is the coalescence of the this internal vision with the act of painting in the present moment and its concurrent engagement with the light, weather conditions and changing growth throughout the duration of the paintings. Through this way of painting, sometimes taking several weeks, I have evolved a new perspective, that rejects the fixed interpretations and applications of single lens technology and ideology.
These hybrid landscapes play with spatial and temporal simultaneity, where the light and colours from different times of the day co-exist in a single painting, connecting with painters across history.
Andreas Rüthi est né en 1956 à Zurich, en Suisse. Il a étudié de 1987 à 1990 à la Gerrit Rietveld Academie, à Amsterdam.
Ses natures mortes ont été régulièrement exposées à partir du milieu des années 1990 en Europe, aux États-Unis et en Australie.
Juxtaposant des bibelots et des cartes postales d'art, Rüthi a mis en scène des natures mortes de manière à ce que chaque objet soigneusement choisi ait une signification et contribue à la résonance globale de l'œuvre.
De 2006 à 2018, Rüthi a travaillé au Pays de Galles, où il a présenté ses premières expositions individuelles dans les espaces publics suivants: Oriel Davies Gallery, Newtown, Oriel Plas Glyn Y Weddw et Glynn Vivian Art Gallery, Swansea.
Depuis qu'il travaille dans la campagne bourguignonne et à Collioure dans le sud de la France, ses sujets comprennent également des peintures de paysages - réalisées en plein air dans ses jardins. La peinture en plein air est devenue une action performative. Cela peut s'expliquer par deux étapes, mais en réalité, il s'agit plutôt d'un cycle continu. La première est la cartographie de l'espace du jardin à travers l’engagement dans la plantation, la collecte, l'identification, le défrichage, etc. et la façon dont cette activité devient une vision intériorisée. Le second est la coalescence de cette vision interne avec l'acte de peindre dans le moment présent et son engagement simultané avec la lumière, les conditions météorologiques et la croissance changeante tout au long de la durée des peintures. Grâce à cette façon de peindre, qui prend parfois plusieurs semaines, j'ai développé une nouvelle perspective qui rejette les interprétations et les applications fixes de la technologie et de l'idéologie de l'objectif unique.
Ces paysages hybrides jouent avec la simultanéité spatiale et temporelle, où la lumière et les couleurs de différents moments de la journée coexistent dans un seul tableau.